Les épreuves d'admission comprennent trois épreuves pratiques.
La première est une épreuve de sauvetage imposée (coefficient 2). Le candidat choisit également une pratique de polyvalence (pratique coefficient 1; oral coefficient 1) et une pratique de spécialité (coefficient 3) parmi une liste d'APSA pouvant être modifiée chaque année. L'épreuve de spécialité est constituée d'une pratique évaluée. L'épreuve de polyvalence est composée d'une pratique (coefficient 1) puis d'un oral de 20 minutes (coefficient 1). Une note méthodologique détaillant les modalités de pratique est disponible ici.
Quelques conseils pour l'épreuve de sauvetage
- Bien que le coefficient soit faible, des candidats non spécialistes peuvent obtenir de très bonnes notes dans cette épreuve. De plus, cette épreuve peut s'avérer discriminante dans la note finale du concours car les notes de sauvetage ont un écart-type important.
- La partie la plus discriminante de cette épreuve est le remorquage du mannequin. Les jury recommandent d'utiliser une propulsion soit en ciseaux de brasse soit en rétropédalage plutôt qu'en battements de jambes. Une attention particulière doit être portée sur la non-immersion des voies respiratoires du mannequin.
Barème
sauvetage
Quelques conseils pour les épreuves de polyvalence et de spécialité
- Il n'est pas possible de choisir la même APSA en polyvalence et en option. Les modalités de l'épreuve pratique ne changent pas entre l'épreuve d'option et l'épreuve de polyvalence. Seul le coefficient est différent.
- À titre indicatif, le jury situe la moyenne au niveau 5 scolaire. Il n'est donc pas nécessaire d'être un " vrai " spécialiste de l'activité pour réussir à obtenir une note correcte aux épreuves pratiques.